CARNET DU JOUR
Samedi 28 janvier - à 11h00 à Marlieux, au cours de la Messe (en latin) M. l'abbé Pierre Friess a béni les fiancailles de Gabriel LEFEVRE et Oriane SEGUIER D’AGOULT.
Groupement paroissial de Villars les Dombes
VILLARS LES DOMBES - BIRIEUX - BOULIGNEUX - LAPEYROUSE - LE PLANTAY - SAINT MARCEL EN DOMBES - SAINT PAUL DE VARAX - MARLIEUX - SAINT GERMAIN SUR RENON _____________________________________Curé : M. l'Abbé Pierre FRIESS_____________________________________ INFORMATIONS de PERMANENCES et de CONTACT sur https://www.paroisse-villars.com/2023/03/contacter-la-paroisse.html
Samedi 28 janvier - à 11h00 à Marlieux, au cours de la Messe (en latin) M. l'abbé Pierre Friess a béni les fiancailles de Gabriel LEFEVRE et Oriane SEGUIER D’AGOULT.
Le Mot du Curé
Avec ou sans la Messe
La Messe : c’est là un sujet qui génère souvent un comportement très curieux chez beaucoup de catholiques : ils ne participent plus à la Messe ou n’y viennent que rarement (pour certains parents dont les enfants sont au catéchisme, participer à la Messe semble vraiment impossible !). Et pourtant, ces mêmes personnes tiennent absolument à « avoir une Messe » pour les obsèques d’un membre de leur famille ou se plaignent parfois qu’il y ait rarement la Messe dans leur petit village. Bref, on ne va guère à la Messe mais on y tient quand même. Que penser de tout cela ?
Premièrement : il est beau de voir que, malgré la déchristianisation de l’Europe, beaucoup de baptisés restent mystérieusement attachés à l’Eucharistie qui constitue le plus grand trésor de l’Eglise.
Deuxièmement : il convient de souligner que si la Messe est le sommet de la prière chrétienne, elle n’en est pas la seule expression : on peut se rassembler et prier à l’église sans la célébration de l’Eucharistie. Il est même hautement souhaitable qu’il n’y ait pas de messe pour les mariages et les obsèques lorsque les familles en question sont très éloignées de la pratique religieuse. « Là où se rencontrent des situations dans lesquelles il n’’est pas possible de garantir la clarté qui s’impose sur le sens de l’Eucharistie, on doit évaluer l’opportunité de remplacer la célébration eucharistique par une célébration de la Parole de Dieu » dit Benoît XVI.
Troisièmement : il faut bien comprendre que la diminution du nombre de prêtres en France entraîne nécessairement la diminution du nombre de Messes. « Nous savons que les membres de notre Eglise n’ont pas encore tous pris également la mesure des contraintes nouvelles qui découlent de la baisse de population dans certains secteurs ruraux et de la surcharge excessive du service dominical pour beaucoup de prêtres » a dit le cardinal de Paris, Monseigneur André Vingt-Trois, lors de l’assemblée des évêques à Lourdes. Il préconise donc que la Messe du dimanche soit célébrée en un lieu unique (un lieu fixe, à heure fixe) avec un covoiturage pour favoriser les déplacements, et que, régulièrement, les jours de semaine, des temps de prière soient organisés par les paroissiens dans les petites églises afin que celles-ci demeurent bien vivantes.
Nous maintenons pour l’instant un nombre élevé de Messes dominicales dans notre doyenné, surtout à l’occasion des grandes fêtes liturgiques. Mais il n’est pas interdit de se pencher sur ce sujet que les évêques français aborderont à nouveau dans les mois à venir.
Abbé Pierre Friess.
-Mercredi 1er février : messe à 9h 00 à la cure
-Jeudi 2 février - La Présentation du Seigneur au temple :
EN RAISON DES INTEMPERIES, LA GARDE D'HONNEUR EST SUPPRIMEE
-Vendredi 3 février (1er vendredi) : messe à la Cure à 9h00, pour la famille de FRAMOND.
Samedi 4 février
18h00 à St Marcel : sainte messe dominicale anticipée pour Victor JOMARD, Marie CHENE.
Dimanche 5 février (5e Dimanche du temps ordinaire)
FETE PAROISSIALE
10h00 à Villars sainte messe dominicale « pro populo » pour Paul BAUJARD, Mercedes GARCIA (40aine†).
Après la messe, apéritif offert à tous (à la salle des fêtes de Villars).
Enveloppes surprises gagnantes.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc 1, 21-28
Samedi 18h00 à Marlieux, sainte messe dominicale anticipée pour les familles
CHAMBAUD-DAMOUR.
Dimanche 29 janvier (4e Dimanche du temps ordinaire) :
10h00 à Villars, sainte messe dominicale « pro populo » pour Françoise
ESCOULA, Jean ANGLADE et la famille CHAUMIENNE, Marcel BOULLIER
(8e ann†) Défunt de la semaine : Maurice FAILLET.
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FONDATEUR DE LA VISITATION SAINTE MARIE
… On perçoit bien, en lisant le livre sur l'amour de Dieu et plus encore les si nombreuses lettres de direction et d'amitié spirituelle, quel connaisseur du cœur humain a été saint François de Sales. A sainte Jeanne de Chantal, à qui il écrit: «[…] car voici la règle générale de notre obéissance écrite en grosses lettres: il faut tout faire par amour, et rien par force; il faut plus aimer l'obéissance que craindre la désobéissance. Je vous laisse l'esprit de liberté, non pas celui qui forclos [exclut] l'obéissance, car c'est la liberté de la chair; mais celui qui forclos la contrainte et le scrupule, ou empressement» (Lettre du 14 octobre 1604).
Ce n'est pas par hasard qu'à l'origine de nombreux parcours de la pédagogie et de la spiritualité de notre époque nous retrouvons la trace de ce maître, sans lequel n'auraient pas existé saint Jean Bosco ni l'héroïque «petite voie» de sainte Thérèse de Lisieux.
Je salue cordialement les pèlerins de langue française! À l’école de saint François de Sales, puissiez-vous apprendre que la vraie liberté inclut l’obéissance et culmine dans la réalité de l’amour. N’ayez pas peur d’aimer Dieu par-dessus tout! Vous trouverez en Lui seul la vraie joie et la pleine réalisation de votre vie! Avec ma bénédiction!
BENOÎT XVI Audience générale du Mercredi 2 mars 2011
Arrivée place de la Nation à 14h00
Sortiedes banderoles
Les jeunes de l'ain sont en majorité dans le car de Bourg
Prêtsà démarrer.
Monseigneur Bagnard vient saluer ses diocéséins
Les soeurs dominicaines sont avec nous
Interview pour LA CROIX "extrait" : C’est la troisième fois que Marie et Alain se rendent à Paris soutenir la « Marche pour la vie ». Dimanche 22 janvier au matin, tôt, ils ont pris le car à Bourg-en-Bresse, direction la capitale, pour rejoindre les milliers de manifestants venus dire leur opposition à la loi sur l’interruption volontaire de grossesse et leur souci que l’on protège les plus vulnérables. Catholique pratiquante, Marie manifestait déjà avec sa mère en 1974, quelques mois avant l’adoption définitive de la loi Veil ; près de quarante ans plus tard, accompagnée de ses quatre enfants, elle espère faire du respect de la vie « un thème de la campagne », sans beaucoup d’espoir cependant. « Pour l’instant, je ne vois personne se positionner clairement sur ce sujet », reconnaît-elle.
15h40 ! enfin on peut démarrer !
Dans la foule : Marie, Antoine et les enfants.
M. de Framond était présent, mais nous ne l'avons jamais trouvé.
Fidèles à la Marche, les Devic sont venus au complet
La nuit tombe, la place de l'opéra est pleine, et la marche n'est pas terminée.
Le groupe de l'Ain n'en verra pas la fin, les chauffeurs du car attendent dans une rue adjacente.
Le Collectif en Marche pour la Vie communique :
.... Au regard de ce bilan (de 37 ans d'avortement légal), les manifestants ont demandé un réveil des consciences, la restauration d’une maternité et d’une paternité libres et responsables qui implique le droit à l’information exhaustive des femmes sur la réalité de l’avortement, une véritable politique au service de la Vie et de la famille impliquant un développement sans précédent des aides à la maternité et des structures d’accueil pour les femmes enceintes en difficulté, le remplacement des lois et règlements contraires à la vie humaine par des dispositions favorisant l’accueil de la Vie et respectant la loi naturelle, non un simple principe d’interdiction assorti d’exceptions mais l’interdiction pure et simple de toute forme d’expérimentation ou de sélection sur l’embryon humain.