MARCHE POUR LA VIE
Arrivée place de la Nation à 14h00
Sortiedes banderoles
Les jeunes de l'ain sont en majorité dans le car de Bourg
Prêtsà démarrer.
Monseigneur Bagnard vient saluer ses diocéséins
Les soeurs dominicaines sont avec nous
Interview pour LA CROIX "extrait" : C’est la troisième fois que Marie et Alain se rendent à Paris soutenir la « Marche pour la vie ». Dimanche 22 janvier au matin, tôt, ils ont pris le car à Bourg-en-Bresse, direction la capitale, pour rejoindre les milliers de manifestants venus dire leur opposition à la loi sur l’interruption volontaire de grossesse et leur souci que l’on protège les plus vulnérables. Catholique pratiquante, Marie manifestait déjà avec sa mère en 1974, quelques mois avant l’adoption définitive de la loi Veil ; près de quarante ans plus tard, accompagnée de ses quatre enfants, elle espère faire du respect de la vie « un thème de la campagne », sans beaucoup d’espoir cependant. « Pour l’instant, je ne vois personne se positionner clairement sur ce sujet », reconnaît-elle.
15h40 ! enfin on peut démarrer !
Dans la foule : Marie, Antoine et les enfants.
M. de Framond était présent, mais nous ne l'avons jamais trouvé.
Fidèles à la Marche, les Devic sont venus au complet
La nuit tombe, la place de l'opéra est pleine, et la marche n'est pas terminée.
Le groupe de l'Ain n'en verra pas la fin, les chauffeurs du car attendent dans une rue adjacente.
Le Collectif en Marche pour la Vie communique :
.... Au regard de ce bilan (de 37 ans d'avortement légal), les manifestants ont demandé un réveil des consciences, la restauration d’une maternité et d’une paternité libres et responsables qui implique le droit à l’information exhaustive des femmes sur la réalité de l’avortement, une véritable politique au service de la Vie et de la famille impliquant un développement sans précédent des aides à la maternité et des structures d’accueil pour les femmes enceintes en difficulté, le remplacement des lois et règlements contraires à la vie humaine par des dispositions favorisant l’accueil de la Vie et respectant la loi naturelle, non un simple principe d’interdiction assorti d’exceptions mais l’interdiction pure et simple de toute forme d’expérimentation ou de sélection sur l’embryon humain.